La Capsulerie – Le Conseil du Quartier répond à un jeune venu interpeller la municipalité : “Dégage !”

Le dernier Conseil du Quartier de La Capsulerie s’est déroulé ce jeudi 22/11 dans une école maternelle de notre quartier. Je m’y suis rendu en parallèle de l’événement organisé à Montreuil autour de l’écologie et des quartiers populaires en présence de Sandra Regol, porte parole d’Europe Ecologie Les Verts, et de Patrice Bessac, Maire de Montreuil. Très belle leçon de démocratie participative et d’ouverture d’esprit que nous avons pu observer à Montreuil, avec notamment des débats et échanges très constructifs, contrairement à ce que l’on peut malheureusement constater chez nous à Bagnolet…

Le Maire de Bagnolet, Tony Di Martino, les élus Christiane PESCI et Daouda KEITA ainsi que les membres du Conseil de notre Quartier étaient présents à cette réunion.

Je m’y suis rendu dans la continuité de nos mobilisations, notamment pour dénoncer le manque de considération que LogiRep semble réserver à ses locataires face aux nombreuses pannes avec nos ascenseurs. J’y suis donc allé principalement pour interpeller :

  1. Les dirigeants de LogiRep invités à cette réunion ;
  2. La municipalité au sujet de nos créneaux horaires qui nous ont été retirés au profit d’une autre association ;
  3. La municipalité sur la question de la vidéosurveillance.

Avant toute chose, et alors que j’étais venu en compagnie de deux journalistes dans le cadre d’un reportage actuellement en cours de réalisation au sein de notre quartier suite à nos mobilisations face à LogiRep, Notre Maire et nos élus ainsi que les membres du Conseil de NOTRE Quartier nous ont immédiatement pris à parti en prétendant qu’il serait interdit de filmer les échanges durant cette réunion… La possibilité d’enregistrer ces réunions et les débats qui ont lieu découle pourtant du caractère public de ces séances et constitue, en conséquence, un droit pour toute personne assistant aux réunions de ce type. Chacun doit assumer ses propos tenus publiquement, en particulier ceux tenus par les élus de notre ville ou de notre quartier ! Mais comment expliquer que la municipalité refuse, visiblement sans raison valable, de permettre à chacun d’enregistrer les échanges ayant lieu durant ces réunions publiques alors qu’elle enregistre elle-même toutes les prises de parole ?! Cette affirmation ne vient pourtant pas de moi mais de Michel PESCI, lui-même collaborateur du Maire, qui me l’a affirmé en séance en insistant auprès des organisateurs de veiller à ce qu’un micro soit donné à chaque personne demandant la parole pour avoir un enregistrement… de meilleur qualité !

Par ailleurs, et alors même que les élus prétendaient juste avant qu’il ne serait “pas correct” de filmer le public, comment expliquer que Notre Maire en personne se permet alors de divulguer, publiquement et de façon ironique, l’identité exacte de certains habitants qui l’interrogeaient sereinement et légitimement durant cette même réunion ? Au delà de l’aspect légal de cette pratique de Notre Maire qui reste à prouver et au delà même de cette manière – à peine cachée – de détourner l’essentiel des sujets abordés, cela pose un véritable problème quant au respect de la déontologie en tant qu’élu, en particulier lorsque ces élus sont censés, rappelons-le, tous nous représenter !

1 – LogiRep : Pannes récurrentes des ascenseurs des 4 tours de 18 étages du quartier de La Capsulerie

S’agissant des dirigeants LogiRep : ils étaient invités à participer à cette réunion publique mais ils ont visiblement refusé de s’y rendre puisque aucun représentant LogiRep n’était présent ! C’est dommage, nous aurions bien aimé obtenir des réponses et pouvoir – enfin – dialoguer avec eux… Notamment suite aux promesses annoncées en septembre dernier de réparer et/ou remplacer tous nos ascenseurs en débloquant en urgence un budget de 1,7 millions d’euros (Quel est le cahier des charges de ces travaux ? A quelle date ce budget a-t-il été voté chez LogiRep ? Puisque ces travaux sont liés au marché public, à quelle date l’appel d’offre officiel a-t-il été lancé par LogiRep ? Quel prestataire a été choisi pour réaliser ces travaux et sur quels critères ? etc…). Tant de questions sans réponses… Pour rappel, personne n’était au courant de ces travaux avant l’annonce de LogiRep en septembre dernier, pas même ceux qui prétendent travailler main dans la main avec LogiRep depuis des années sur cette question (association de locataires, municipalité, etc…).

Face à l’incompréhension totale des locataires sur place et à notre insistance, Notre Maire a fini par nous promettre qu’il convoquera les dirigeants LogiRep en mairie en invitant également notre collectif à participer à cette réunion pour faire avancer la situation… ENFIN une proposition claire de Notre Maire après plusieurs années de lutte ! Restons néanmoins vigilants suite à cette annonce, nous veillerons à ce que cette promesse soit tenue et attendons avec impatience un retour de la municipalité (pour rappel, notre collectif est joignable via l’adresse : LogiRep@ensemble-bagnolet.fr ?).

La lutte continue !

2 – AEB : Nos créneaux de Basket-Ball retirés au profit d’une autre association

J’ai profité de la présence de Notre Maire durant cette réunion pour l’interroger sur la question de nos créneaux horaires. Pour rappel, notre association possédait deux créneaux à des horaires non adaptés pour notre équipe Séniors… En 2015, nous demandions le renouvellement de nos créneaux dans les délais comme chaque année auprès de la municipalité. En réponse, la municipalité décide sans préavis de nous retirer nos créneaux pour les attribuer, visiblement sans raisons valables, à une autre association.

En réponse, Notre Maire nous informe qu’il ne sait tout simplement pas pour quelles raisons nos créneaux nous ont été retirés… C’est très étrange sachant que depuis 2015, nous ne cessons d’alerter les services de la ville au plus haut niveau sans réponse (notamment en contactant la Direction des Sports et de la Vie Associatives de notre ville)… Mais QUI donc a pu prendre cette décision si Notre Maire lui-même n’en a pas été informé… ? Et surtout, pour quelles raisons nos alertes ne sont-elles visiblement pas parvenues jusqu’à Notre Maire avant 2018 ?!

Depuis 2015, la situation est restée malheureusement identique malgré nos nombreuses relances restées sans réponse… Ce n’est que depuis septembre 2018 que nous réussissons à obtenir des résultats – ou plutôt des miettes – alors que nous ne demandons pourtant rien de plus qu’un service élémentaire et visiblement attribué à d’autres associations sans problème… Une chose est sûre, ces “résultats” ont été obtenus uniquement depuis que nous avons dénoncé publiquement la situation à laquelle notre association fait face ces dernières années ! Par ailleurs, la municipalité semble donc assumer que des associations qui ne viennent pas de Bagnolet soient prioritaires quant à l’attribution des créneaux… Les jeunes de notre quartier ne sont visiblement pas une priorité !

Aujourd’hui, une bonne partie de nos adhérents n’ont toujours pas la possibilité de venir suivre leurs entraînements car nous ne disposons toujours pas de créneau après 20h pour permettre à ceux qui travaillent, ou qui sont encore scolarisés, de pouvoir en profiter ; difficile de préparer sereinement notre championnat dans de telles conditions… (voir mon précédent article à ce sujet pour plus de détails)

3 – La Capsulerie : Vidéosurveillance et Conseil de Quartier…

Dans la continuité de mon précédent article au sujet du véritable Business de la peur auquel nous avons droit depuis des années dans notre ville et notre quartier, avec par exemple la promesse que la vidéosurveillance résoudraient – comme par miracle – tous nos problèmes, j’évoquais déjà l’inefficacité de ces dispositifs et la manière dont certains représentants politiques et associatifs n’hésitent plus à instrumentaliser nos peurs.

Puisque la décision de mettre en place des caméras de vidéosurveillance dans notre quartier a déjà été prise depuis plusieurs années, j’ai demandé à Notre Maire, en tant que citoyen, de nous expliquer les raisons de cette décision en nous apportant des faits et données concrètes. Alors que je m’attendais à ce que la municipalité fasse preuve d’honnêteté intellectuelle en nous présentant du concret, je n’ai eu droit, en guise de réponse, qu’à une attitude ironique sans aucune réponse sur le fond de la question…

En effet, et en réponse à ma demande, Notre Maire a d’abord prétendu publiquement que j’aurai rejoint le parti politique de La France Insoumise… Alors, que les choses soient claires : Notre Maire s’est visiblement permis de réaliser ce raccourci sous prétexte que Notre Député, Alexis Corbière, ait fait son travail en soutenant sans réserve notre collectif de locataires mobilisés face à un bailleur tel que LogiRep… En réalisant un tel raccourci, Notre Maire démontre qu’il fait malheureusement parti de ceux qui semblent convaincus qu’il n’est pas possible de militer pour des causes sans être engagé dans un parti politique… De mon côté, je ne suis encarté dans aucun parti politique et je ne reçois aucun ordre ni aucune directive à suivre contrairement à d’autres !

Ce n’est qu’après avoir insisté durant la réunion que Notre Maire nous lâche finalement quelques informations : accrochez-vous, ça vaut le détour ! La mise en place des caméras de vidéosurveillance coûtera 700 000 euros ! Il ne s’agit là que des frais de mise en place, ce montant ne prend pas en compte les frais de maintenance des dispositifs, frais de personnel et de formation, frais de changement en cas de vandalisme, etc… Bien que les coûts de mise en place seraient partagés entre la municipalité, la région et l’état, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit de nos impôts et autres charges qui partiront dans ce budget de 700 000 euros. Sans oublier le reste des coûts récurrents à prévoir sur le long terme qui sera à la charge totale de la municipalité – et donc à notre charge (remplacement des dispositifs en cas de vandalisme, etc…) ! On comprend mieux les raisons qui ont poussé la municipalité à augmenter certains services ces dernières années (impôts locaux, cantines scolaires – tant qu’à faire…, etc…) !

A ce stade du projet, j’imaginais que la municipalité avait réalisé une étude préalable ou – à minima – un audit auprès d’un cabinet d’experts afin d’évaluer l’efficacité de la vidéosurveillance étant donné les coûts faramineux que ce projet impliquera… Bref, tout le travail que les élus doivent faire en temps normal pour justifier un tel projet… Et bien NON, Notre Maire nous apprend en séance que la municipalité a décidé la mise en place d’un tel dispositif aussi coûteux UNIQUEMENT parce que certaines villes voisines ont déployé des caméras de vidéosurveillance… Incroyable mais vrai ! Notre Maire prend pour exemple certaines villes en veillant – comme toujours – à bien préciser le parti politique des Maires de ces villes (partie Communiste, France Insoumise, Parti Socialiste, ou d’autres…). C’est malheureusement la seule justification que nous aurons durant cette réunion ! Doit-on en conclure que la vision de notre municipalité sur cette question se résume simplement à une idéologie et un calcul politique dénués de raison plutôt que sur des expertises basées sur la réalité… ?

Puisque Notre Maire fait référence aux villes voisines, intéressons-nous par exemple à Aulnay-Sous-Bois : sur 23 caméras installées en urgence 1 an avant les précédentes élections municipales de 2014 pour un budget de 800 000 euros, 17 sont hors service faute d’entretien ou de réparation, c’est-à-dire les trois-quart du dispositif ! Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres…

Pour faire simple, je vous invite encore une fois à prendre le temps de visionner, à la fin de cet article, un reportage de l’émission Cash Investigation diffusé sur France 2 et réalisé par des journalistes d’investigation. Ce reportage démontre l’inefficacité de la vidéosurveillance avec des données concrètes ! En complément de ce reportage, je vous invite aussi à consulter ce rapport réalisé en 2009 traitant de l’efficacité de la vidéosurveillance. J’insiste sur le fait que ce rapport a été commandé par le Ministère de l’Intérieur et a été réalisé par l’Inspection Générale de la Police Nationale, l’Inspection Générale de l’Administration et l’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale. Au delà de certains passages de ce rapport qu’il a bien fallu adapter – vraisemblablement pour qu’il colle un minimum avec la tendance actuelle qui tend vers le financement massif de ces dispositifs par l’étatce rapport est sans appel et démontre clairement l’inefficacité de ces dispositifs, en particulier dans la lutte contre la délinquance, ou encore en termes de résultats obtenus face aux centaines de millions d’euros investis dans ces dispositifs… Il suffit de lire les chiffres !

Regardez par exemple ci-dessous un tableau publié dans ce rapport présentant l’évolution du taux d’élucidation des enquêtes de police et gendarmerie de 2000 à 2008 dans des villes AVEC et SANS vidéosurveillance… On constate que l’évolution de ce taux d’élucidation est plus élevé dans des villes où il n’y a pas de vidéosurveillance…

Mais à quoi peuvent bien servir ces dispositifs !? Étrangement, depuis la parution de ce rapport en 2009, il n’existe aucune autre étude menée à ce sujet en France, et c’est bien dommage ! En attendant, les industriels de ce secteur se frottent les mains et réalisent des augmentations spectaculaires de leur chiffre d’affaire chaque année…

Voici encore un autre rapport, en anglais et cette fois-ci réalisé par des chercheurs indépendants en 2005, démontrant l’inefficacité de la vidéosurveillance notamment en matière de lutte contre la délinquance à Londres, qui est l’une des villes les plus vidéo-surveillées au monde !

Face à ce constat, des questions demeurent sans réponse à ce jour : sur quels critères NOTRE municipalité a-t-elle décidé de mettre en place la vidéosurveillance qui coûtera au contribuable bien plus que 700 000 euros ? Pourquoi ne pas avoir réalisé une étude préalable ou un audit avant le lancement de dépenses aussi coûteuses pour ce projet qui ne changera rien au fond du problème ? Et, au passage, quel prestataire a été sélectionné pour cette mise en place et sur quels critères ? Au delà de l’aspect des libertés individuelles menacées par ces dispositifs (on pourra vous filmer sans votre accord et personne ne sait ce qui sera fait de vos images), il est primordial de se baser sur des faits concrets et des exemples similaires d’erreurs réalisées dans des quartiers et villes voisines pour éviter de les reproduire chez nous, surtout si cela implique des coûts non négligeables qu’il va bien falloir assumer compte-tenu de l’état actuel des finances de notre ville !

Par ailleurs, alors que j’interrogeais Notre Maire durant cette réunion sur la manière dont la population avait été consultée sur ces questions, la responsable de notre Conseil de Quartier vole aussitôt au secours de la municipalité en brandissant fièrement un tract faisant référence à une réunion qui aurait eu lieu en mars dernier à ce sujet… Mais… Intéressons-nous d’abord aux membres de ce Conseil de Quartier qui semble être géré d’une main de fer par cette personne. En regardant de plus près, on remarque que la majorité des membres de ce Conseil font parti du microcosme des nouveaux habitants tout juste installés dans les résidences privées de notre quartier, et dont certains ne cessent de se plaindre de la chute spectaculaire du prix de l’immobilier avec le trafic de drogue qui gangrène notre quartier. On comprend mieux la nature et l’objectif des sujets abordés par ce Conseil… Ces personnes ont visiblement pris en otage le Conseil de NOTRE Quartier et n’hésitent plus à aborder des sujets complètements décalés de la réalité du terrain tels que :

  • Démolition du foyer ADOMA qui vient pourtant d’être rénové il y a seulement quelques années mais qui, selon eux, concentrerait toute la misère de notre quartier (squatters, saleté, etc…). Personne ne semble se soucier de l’avenir des gens résidant dans ce foyer… Il est pourtant évident que s’ils avaient les moyens de payer un loyer plus élevé, ils n’y resteraient pas !
  • Commissariat et vidéosurveillance qu’ils ne cessent de réclamer face au trafic de drogue sans s’intéresser un seul instant sur les origines et le fond du problème… A quoi bon… Tant que ça contribue à la hausse des prix de l’immobilier de notre quartier…
  • Rénovation du terrain de pétanque de notre quartier…
  • Mise en place de lampadaires réputés INCASSABLES mais qui ont aussitôt été détruits…
  • etc…

Aucune proposition n’a été portée par le Conseil de NOTRE Quartier envers les jeunes et pour cause : alors qu’un jeune habitant du quartier présent à cette réunion, et excédé par le véritable sentiment de désinvestissement et d’abandon de la part des pouvoirs publics sur notre quartier, a interpellé Notre Maire pour lui exprimer son ressenti sans la moindre insulte ni menace, une autre membre du Conseil de Quartier vole aussitôt – et encore une fois – au secours de la municipalité en criant à ce jeune : “DÉGAGE !… Cela en dit long sur les objectifs portés par les membres de ce Conseil…

Et pour couronner le tout, ce n’est malheureusement pas la seule réaction à laquelle ce jeune a dû faire face ce soir-là… Certains habitants du quartier qui connaissent ce jeune et les problématiques dont il faisait référence sont aussitôt intervenus face à lui. Vous savez, ce sont toujours ces mêmes habitants qui n’ont jamais réagi à nos prises de positions et alors même qu’ils échangent régulièrement avec ce jeune. Pire encore, ils dévoilent leur jeu pour profiter de la situation en s’opposant à ce dernier publiquement et en voulant faire croire qu’ils seraient les interlocuteurs les plus raisonnables face à la municipalité… L’opportunisme et l’individualisme, hélas, n’épargnent aucune catégorie sociale et encore moins les plus démunis…

Les élections municipales sont déjà dans toutes les têtes et le marché a visiblement ouvert ses portes depuis quelques temps. Ce sont ces mêmes habitants qui se manifestent tous les 5 ans avant les élections municipales et qui sont prêts à tout pour obtenir des avantages quel qu’en soit le prix, puis disparaissent une fois les élections passées sans laisser de traces ! Ils sont une petite minorité, fort heureusement, et agissent bien souvent au détriment de l’intérêt commun : on les appelle opportunistes, individualistes, profiteurs… Mais ils portent avant tout, les stigmates de notre société : une société qui va mal, une société tombée en panne au bord de la route et ces habitants en sont les premières victimes ; ils sont prêts à se vendre et à brader leur dignité ! Alors qu’une alternative existe pourtant bel et bien, revêtir un gilet jaune et protester, devenir solidaires les uns des autres et se tendre la main, s’accepter avec nos différences et en faire un point fort, et surtout, avancer tous ENSEMBLE jusqu’à la victoire de tous pour tous.

Il est urgent d’agir pour notre quartier en proposant des solutions réalistes, réfléchies et permettant de régler les problèmes sur le fond qui sont bien souvent de l’ordre du social, plutôt que de surfer sur la peur des gens. Imaginez tout ce qui pourrait être fait dans l’intérêt commun au sein de notre quartier ou notre ville avec les 700 000 euros – et bien plus – qui vont être dépensés aveuglément dans la vidéosurveillance… Il est urgent de prendre conscience des véritables enjeux sur le terrain, il en va de la responsabilité de tous nos représentants politiques !

 

Voici un extrait de l’émission Cash Investigation démontrant l’inefficacité de la vidéosurveillance. Il s’agit d’un reportage fort intéressant avec une analyse fondée sur des faits et données concrètes :

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